les dentelles vives (vs Ellundril si possible)

Zelda repoussa sa cape pour la millième fois. Quelle stupidité d'entreprendre ce voyage à pied! Elle avait assez d'argent pour s'acheter dix chevaux, et une fois encore, sa naïveté l'avait empêché de réfléchir. Elle avait marché, jour et nuit, avec comme seule motivation l'envie de retrouver ses parents, de découvrir Gwendalavir... et de ne pas tomber entre les mains de ces fichus démons! Si seulement un Frontalier passait par ici... Elle marchait depuis 3 jours et avait fini par s'arrêter. Un spectre avait alors surgit! Un monstre de fer, vêtu d'une armure complexe, d'un casque muni de deux cornes, et armé d'une épée énorme. Terrifiant! Zelda avait fuit. Pourquoi ne retenait-elle jamais la leçon?! Ces spectres étaient pourtants effrayants, et la vue de leur épée aussi glaçante qu'un monstrueux coup de pied aux fesses infligé par un Ts'liche. Mais non, son instinct de princesse habitué aux hôtels 5 étoiles minimum prenait toujours le dessus. Elle n'était même pas sûre de marcher dans la bonne direction! Alors elle les vit. Imposantes de hauteur et de verticalité. Et de brillance. Les Dentelles Vives! Elle parlait toujours trop vite, mais cela lui avait sauvé la vie. C'est alors qu'elle apperçut, arrivant du nord-ouest, sûrement d'Ondiane, un cheval. Et pas tout seul! Un cheval, et sur son dos, une voyageuse d'une quinzaine d'années, le visage ravagé d'anciennes larmes, avec une attidute qui passait inaperçut pour certains. Par pour Zelda.
Marchombre!

[VS ? C'est sensé être un combat ?]
Vingt jours. Vingt jours qu'Ellundril parcourais ces sentiers poussièreux et étroits. Qui plus est sous une pluie incessantes. La pluie ne faisait que tomber depuis son départ d'Ondianne. Ce qui n'arrangeait en rien à son humeur déjà massacrante. Jusqu'à là, elle n'avait rencontrée personne, ce qui l'avait toujours arrangée. L'Avait. Son état de crise étant passé et la solitude commençant à se faire ressentir, elle se serait volontier entretenu avec quelconque personne ; marchant, éclaireur ou même voyageur perdu. Voeu exaucé. Une jeune fille au tein pâle courrait dans sa direction en agitant les bras au-dessus de sa tête. Ce n'était ni une marchande, ni une éclaireuse, peut-être une voyageuse égarée .... Mais déjà la jeune inconnue se tenait devant elle. Légèrement essouflée, elle la regardait de ses yeux bleu, presque noirs.
"Je peux monter ?
Une question aussi bizarre qu'inattendue. Ellundril trop fatiguée pour réfléchir, répondit imédiatement.
- Vas-y, montes."

Lorsque la jeune fille acepta qu'elle voyage en sa compagnie, Zelda poussa un soupir de soulagement.
"Merci. Ca fait 3 jours que j'erre dans ces plaines depuis mon départ d'Al'Vor.
-Pourquoi tu n'enlève pas ta cape?
Zelda grimaça.
-Ben... d'habitude, j'évite en public, mais là c'est vrai qu'il faut chaud. Quel est ton nom? Où vas-tu? Enfin, si je me permettre ces questions, ajouta-t-elle en montant sur le cheval. Et lui, comment s'appelle-t-il? J'ai toujours aimé avoir un chevlal, et j'ai assez d'argent pour en acheter dix si je le veux, mais disons que je n'ai pas pris le temps de réfléchir, j'étais dans l'urgence...

A peine arrivée devant le cheval, la jeune fille lui débita une série de questions tellement vite qu'Ellundril eut du mal à tout comprendre. Son cerveau tournant au ralentit depuis plusieurs jours, Ellundril avait du mal avec cette brusque accélération.
"Eu... montes, tu m'expliqueras après."
L'inconnue monta sur le cheval et ôta sa veste. Ellundril perçu du coin des yeux les longs gants turquoise clair que portait la jeune fille. Cela la surprit et elle décida de faire présentation.
"C'est quoi ton nom ?"
Un peu cours pour une entrée en matière mais c'était mieux que rien.

La marchombre parut être déconcertée par ses questions et lui demanda son nom.
"Je m'appelle Zelda. Zelda Sey'Hyrula."
Zelda appreçut le regard surpris que la marchombre portais sur son gant. Mince! Elle fit claquer les rênes du cheval. Pour éviter que la jeune fille la questionne à propos de son gant, elle lui dit:
-Tu n'as toujours pas répondu à mes questions...

La marchombre n'avait pas répondu aux questions de Zelda, mais ce n'était pas grave. La princesse avait remarqué, son étonnement devant la myrades de questions qu'elle lui avait posées. Zelda n'était pas du genre à faire des rencontres avec les gens, (cela venait sûrement du fait que dans son monde, elle était plutôt habituée à commander les autres), mais pourtant elle désirait savoir qui était cette inconnue, d'où elle venait, où elle allait, le nom de son cheval, etc...mais la marchombre n'avait même pas dit son nom. Le passage des Dentelles Vives ravit Zelda, mais laissa Ellundril de marbre, (et toujours aussi muette!) Puis soudain elle entendit un cliquetis familier. Celui du spectre, épée à la main, cherchant à la capturer et à ne pas décevoir ses maîtres. Refusant de laisser la cavalière voir cette horreur, Zelda plongea dans l'Imagination. Depuis que la premier spectre l'avait attaquée, de nouveaux possibles s'ouvraient dans les Spires, exprès pour ratatiner ces lourdaux aussi effrayant qu'un Ts'liche, mais sans l'odeur. Elle pouvait voir où se trouvaient ceux qui l'attaquaient. Bon. Celui-ci n'était pas très malin, il s'était matéralisé 200 mètres derrière elles. Zelda laissa son corps près de la marchombre et son esprit fondit sur le monstre, s'imnisa en lui, le réduit en pièces détachées. Zelda quitta l'Imagination.
"C'était quoi ce bruit? demanda la cavalière.
-Quel bruit?
-Ce bruit de féraille, comme un tas de casseroles dégringolant!
-Elégant, marmonna Zelda.
Le soleil se couchait, puis elle vit un pont. Non, un pont n'étais pas aussi, gros, aussi beau et aussi glissant.
-Que-ce que... que-ce que c'est?
-L'Arche."

Elle descendirent du cheval et Ellundril confia Etoile de Nuit à un garçon d'écurie. Elle entraîna Zelda jusqu'au point culminant de l'Arche.
"Maintenant, tu vas me dire ce qu'une princesse comme toi fait ici.
- Je ne suis pas une prin...
- Et ce spectre tout à l'heure. Mais qu'est-ce qu'une pareil chose fait là ?
- Tu ... tu l'as vu ? Mais tu n'as même pas tourné la tête.
- Ces monstres sont tellement indiscrets ...
- Et tu ne t'inquiétais pas ?
- Y'avait besoin ? Tu l'as ... démonter. C'est le cas de le dire. Et d'une belle façon en plus."

-Ben... c'est que...
Zelda prit ue profonde inspiration.
-D'accord. J'aurais du m'attendre à ce qu'une marchombre s'en apperçoive. Comme tu le sais, je m'appelle Zelda Sey' Hyrula. Je viens d'un autre monde, le royaume d'Hyrule, que je dirige. Seulement il y a quelques temps, des démons m'ont attaquée et je me suis enfuie. Mais ils ont fini par m'attraper, et d'un coup j'ai été transportée à l'ouet d'Al'Vor! Je suis une dessinatrice, mais je peux également quitter mon corps pour me diriger vers les spectres qui me sont envoyés et les détruire de l'intérieur. Maintenant je ne dois pas rester trop ongtemps à un endroit sinon les démons me localisent, alors j'essaie de retrouver la trace de mon peuple car il a bien fallut que je connaisse ce monde puisque j'ai pu m'ytransporter. J'ai aussi quelque talent de marchombre, ce qui m'est parfois utile. Mais fini de parler de moi, et désolée si ça te paraît court, je ne 'ai jamais dit à personne. Maintenant parlons un peu de toi...

"Je n'ai pas grand chose à dire.
- Dis quand même.
- Je m'appelle Ellundril.
- Mais encore.
- Chariakin.
- C'est tout ?
- Oui.
- Tu pourrais faire un effort !
- Pourquoi donc ?
- J'ai fais un effort, moi !
Ellundril poussa un soupir d'exaspération.
- C'est moi qui devrais soupirer. fit remarquer Zelda.
- Je suis marchombre.
- Non, sans blague ..."

- Je suis marchombre.
- Non, sans blague ...
Zelda aurait voulu que la marchombre en dise un peu plus. Bon, d'accord, les marchombres cultivaient le secret, ET ALORS? Elle n'était pas une ennemie. Elle voulait juste retrouver son passé, son royaume, et surtout survivre!
-Je voulais une réponse, et même si elle ne me comble pas vraiment de joie, je supose que je vais devoir faire avec, dit-elle. N'empêche que j'aimerais bien savoir où tu vas, de façon à ce que tu puisse me déposer dans Al'Jeit. J'igonre où ton maître t'a envoyée, si tu en as un, mais il est claire que tu ne mènes pas une vie sur les bottes de foins. Vrai ou faux?

[où là là quel manque d'inspiration ]

Ellundril n'avait pas vraiment l'intention d'entamer une longue discussion. Aussi se détourna t-elle de Zelda.
"Combien de monstres comme l'autre y a t-il ici en ce moment ?" lança t-elle par-dessus son épaule.
"Plus d'une dizaine et ils ne sont pas prêts de partir...
- Jusqu'à que tu ne sois plus en vie.
- C'est ça."
Ellundril commença à s'éloigner.
- Si tu tiens à rester en vie, je te conseil de me suivre."
Elle atteignit la milieu du pond.
"Pour quoi faire ? cria Zelda pour se faire entendre.
- Pour que tu reste en vie."