Prénom : Mika
Nom : Lliure
Age : 23 ans
Sexe : Féminin
Groupe : Marchombre
Rang : ~Marchombre~
Description psychologique et caractère [minimum 4 lignes] :
Mika est une fille assez raide. Elle réfléchit déjà comme un adulte bien qu'elle garde l'esprit ouvert de l'enfant. Sa difficulté à exprimé ses sentiments est très voyante. Son visage exprime toujours une émotion neutre, laissant beaucoup plus paraître les émotions négatives que positives. Vive d'esprit, elle a une très grande mémoire et cela l'aide beaucoup dans ses travaux scolaires et dans l'enseignement de tous. En amitié, rare sont ceux qui on réussit à voir la vrai Mika, celle qui sait encore se comporter en enfant, moins adulte. Il est très facile de se méprendre pour son âge. Difficile à cerné, elle est très têtue mais si tu as vraiment raison, elle n'hésitera pas à vous donner raison. Très colérique, la nouvelle élève peut insulter et frappé tout se qui bouge (dans ces pire moment). Très fiable, elle a tout pour faire une véritable marchombre. "Ma liberté s'arrête ou celle des autres commence. Mais un marchombre sais contourner ses difficultés et tendre vers l'harmonie. Toujours". Tel est sa pensé. Rien ni personne n'a réussi à la détourné de sont choix de vie, et, je le croie sincèrement, personne ne le réussira jamais.
GOÛTS :
Mika adore tout ce qui est fruit. Elle n'est pas très difficile cotée alimentation. Elle porte bien sur toujours des vêtements en cuir. Elle aime les gens honnêtes, qui ne se prenne pas pour d'autre. Elle aime voir du talent chez les autres, peux importe le type. Elle adore les gens qui connaissent leurs véritables valeurs et qui savent s'affirmer. Elle aime moins ceux qui ne savent pas encore ou qu'il s'en va, ceux qui on encore trop d'innocence dans les yeux. Elle n'aime pas prétentions qui pensent tout savoir, car elle sait que même le plus érudit ne connais rien. Elle aime le silence, la liberté, le vent, le feu. Elle n'aime pas le bruit. Elle n'aime pas particulièrement le bruit, les autres la laisse indifférente. Voila les principaux goût de Mika Lliure.
Description physique [minimum 4 lignes] :
Mika est d'une bonne grandeur. 5 pieds 8 pouce, elle est à toute épreuve et ses muscles sont en très grands forme. Ses cheveux lui arrivent dans le bas du dos lorsqu'il ne son pas attaché et sont d'un beau rouge noir. Des reflets passent souvent dans ses cheveux qu'elle attache très souvent. Elle a de beaux yeux dorés qui reflète la lumière comme des miroirs, captivant celui ou celle qui les regarde. Sont nez est tout petit, se fondant particulièrement bien avec sont visage. Sa peau douce est dépourvue de bouton. Elle a de petites lèvres peu invitantes mais qui s'harmonise bien avec sont teint. Celui-ci est d'un pèche parfait, ni trop foncé ni trop pâle. Son menton est quelque peux triangle. Assez battis, ses muscles la font très bien paraître et elle est aussi forte qu'un jeune homme de son âge, bien qu'elle ne ressemble pas à cela. Elle a des épaules très large et des bras impressionnant. Mika a des mains abîmé par l'effort et a souvent une mine sérieuse, voire colérique. Mais cette marchombre est et restera toujours une fille libre à l'air sauvage.
Histoire [minimum 7 lignes] :
Je suis née il y a 23 ans dans un coin reculé de Gwendalavir, sur des terres agricoles qui nourrissent plus de la moitié d'Al-Chen. Dès mon jeune âge, ma mère m'enseigna tout ce que j'avais à savoir, comme si j'allais à l'école. Étant enfant unique, je devais aider mon père dans les champs. À 5 ans, je soulevais déjà la grosse pelle de mon père sans difficulté. En dehors de mes heures de travail et de cours, j'étais complètement libre. Je pouvais faire ce que je voulais. Et je me rendit compte que profité pleinement de la liberté était difficile, voire même inaccessible à un humain normal. Pas si loin de la vérité, pas vrai? Alors j'atteignis mes 12 ans. Incompréhensibilité. Tristesse. Joie. Adolescence. A cette époque, j'étais encore une enfant. A cette époque, je jouais encore dans les champs. A cette époque, mes parents étaient encore vivants. J'étais profondément heureuse. Je vivais bien l'été, n'ayant peur de rien, me pensant à l'épreuve de tout. Je vivais un peu moins bien l'hiver, mais je restais heureuse. Mais je l'étais. Prétentieuse. Pourtant, quelque chose devait effacer cette certitude d'être parfaite et à l'épreuve de tout. Cette certitude que rien ne pouvais me vaincre malgré mon jeune âge. Cette certitude de n'avoir peur de rien. Et cette événement se présenta. Rupture. Douleur. Peur. Mort. 2 fois. Un tigre avait surgit. Ou plutôt une tigresse. Une tigresse des Prairies. Ses tigres s'aventurent parfois dans le village mais les soldats de l'empire les arrêtent. Sûrement que celui si leurs a échappé. Sous mes yeux stupéfaits, elle sauta sur mon père avant même que j'eus le temps de réagir. Assez loin dans le champ pour ne pas que le félin me remarque, Cette dernière se dirigera vers la maison. Pour la première fois de ma vie, Je me sentais vaincue. Apeuré. En colère. En pleur, je me dirigea le plus vite possible vers ma belle maison de chêne. La porte avait été arrachée à coup de griffe et le corps de ma mère reposais la, une flaque de sang l'encerclant. Je tomba à genoux, incapable d'imaginé ma vie sans ceux que j'aimais. Je commençais dès lors à me rendre comte de mon égoïste. Comment avais-je seulement pue pensé que j'avais tout vécu, que mon bonheur était acquis, que rien ne pouvait menacer ma petite vie tranquille? Je n'entendit pas le félin derrière mon dos. Je ne la vie pas, les yeux injectés de sang, prêt est se jeté sur moi. Tout à coup, un petit bruit. Comme le souffle de vent dans les branches. J'en resta le souffle coupé. Contrôle de sois, liberté, contrôle des autres. Je me retourna et vis un homme debout devant un tigre figé. Ce premier chantait quelque chose. Ce souffle de vie que j'avais perçue. Sans cesser de chanter, il me fit signe de le suivre. A plusieurs lieu de ma maison, il me lâcha. Il me regarda avec des petits yeux futés. Je fut choqué par la profondeur de son regard.
- Une chance que j'ai entendu le tigre, petite. Tu serais morte à cette heure!
Je baissa la tête. Je tremblais. Je ne supportais pas la pression. Je ne connaissais personne. Comment poursuivre ma vie? Certes, je pourrais reprendre la ferme, continuer ma petite vie, mais cela ne me rendrais pas heureuse. Je le savais au plus profond de moi. Je leva la tête alors que l'homme continua.
- Je me présente, je me nomme Jiko. Je suis maître-marchombre. Tu as un bon potentiel, petite. Dans quelque année tu pourras peut-être à ton tour suivre la Voie.
Sur ses mots, il grimpa avec une très grande souplesse sur son cheval et m'a invité à grimpé dessus. Je dut m'y prendre à 2 fois mais je réussis à grimpé sur le dos du gros étalon noir. Jiko m'amena à Al-Chen, la ville la plus prêt d'ici. Il me laissa dans la ville, me disant qu'ici je devrais être en sécurité t'en que je me cachais la nuit. Ensuite, alors qu'il allait partir, il se retourna vers moi. " A oui, j'oubliais!" Dit t’il. Il me lança un petit sac que j'attrapa et entrouvrit. De l'or! Une dizaine de pièce d'or! Avec sa, je devais survivre un peu plus longtemps, non? Je vécus jusqu'à mes 16 ans. J'avais gardé mes bras de jeunesse. Des bras fort et vigoureux. J'avais voyagé. J'avais changé. Je resta dans ma coquille tout en m'ouvrant au monde. Je traînais maintenant toujours un petit poignard avec moi. Je l'avais acheté il y avait plus d'un mois. J'avais apprit à me méfier des hommes des rues. Je savais maintenant comment les déstabiliser. Pour la première fois de ma vie, j'étais véritablement forte. Mes 4 ans vécus seule m'avait fait comprendre toute les difficultés de la vie, mais aussi tout ce que j'aurais manqué si j'aurais resté avec deux parent bien vivants tout ma vie. J'avais aussi mieux conscience de la chance de ceux qui avaient encore leurs parents. Un jour, alors que je passais sous la porte d'améthyste, a Al-Jeid, Je sentis un regard sur moi. Je me retourna lentement et je vis un homme qui me rappelaient quelque chose. Quelqu'un, plutôt. Jiko. En souriant, je me dirigea vers l'homme qui devait avoir atteins les 80 ans. Je savais maintenant ce qu'étais un marchombre. J'en avais entrevu plusieurs dans les rues de la ville. Je les avais observés, voulant comprendre ce que mon sauveur était. Et je l'avais comprit. Il était l'un des êtres les plus libres du monde.
- Bonjour. On dirait bien que tu m'as reconnue. Aurais-tu le plaisir de me dire ton nom?
En soutenant son regard, je répliqua d'un ton joyeux mon nom. Je lui devais la vie. Un ton sympathique étais de mise.
- Mika. Merci pour tout, Jiko.
- Tu es prête maintenant. Mais voudras-tu me suivre?
Sur ces mots, il partit et je m'empressa de le suivre à l'écurie qui bordaient la porte. Il laissa son cheval la et m'entraîna dans un petit pub d'Al-Jeid. A se moment la, il me parla des marchombres.
- Les marchombres arpentent une voie qui leur est propre. Une voie pavée d'absolu mais périlleuse et solitaire. Une voie sans retour. Elle n'apporte ni richesse ni consécration. Elle offre en revanche un trésor que les hommes on oubliés: la liberté. Si tu veux, Je peux l'accompagner dans tes premier pas. Le temps de formation est de 3 ans. 3 ans pendant laquelle tu me dois une obéissance absolue, sans autre échappatoire que la mort.
- Et si je refuse?
- Je pars et plus jamais tu ne me reverras plus.
Je réfléchis. A peine 5 seconde. Puis j'offrit ma réponse a Jiko. Celle que tout mon être me criais d'être.
- Je vous suis.
Nous sortîmes de la taverne et la commença mon entraînement. Comme il me l'avait promit, ses années furent empreint de souffrance, de bonheur et de découverte. Jiko m'apprit a m'ouvrir, a sortir de cette coquille qui m'entourais depuis qu'il m'avais sauvé d'une mort certaine. Il m'aida a faire le deuil de mes parents, à me faire comprendre que ce qui est fait est fait. Mon maître mot devint Ouverture, lequel m'aida a m'accepté et a connaître le monde. Mon physique décupla, mon caractère devint le bon. Au bout d'un an, je fut présenter au conseil. Je le réussis sans difficulté. Je passa l'Ahn-Ju, très difficile mais je réussis. Je grimpa le Rentaïs, seul. La plus grosse difficulté que j'eus jamais a affronté. Je me souvenais encore des mots. "Lame de feu, flamme de vie. Lanceur de vie, lame de chaleur." Puis la souffrance. La greffe. Ma formation se termina quelque mois plus tard. J'avais 18 ans. Je resta un an seul, rencontrant parfois Jiko. Je lui devais tout. Ma vie et ce que j'étais devenue. J'eus un élève pendant 3 ans. La greffe ne lui fit pas accorder. Mais il s'en releva. Il était un vrai marchombre. De ceux qui avaient la flamme depuis leur jeunesse. De ceux que le conseil reconnaissait tout de suite. Mais le Rentaïs avais vu une faiblesse. Béante. La colère. L'esprit de vengeance. Celle si disparue avec son échec. Et j'en fut profondément heureuse. A ce moment, je cessa d'être marchombre. Je devint maître-marchombre, découvrant le plein contrôle, les joies d'être maître.
J'ai maintenant 23 ans. Je sillonne Gwendalavir sur ma voie. Et je suis profondément heureuse.
Codes [deux cachés quelque part dans le règlement] : Ok by Eppry
Autre chose à dire ? J'ai toujours écrit a la première personne du singulier. Est-ce vraiment obligatoire d'écrire a la troisième personne?